mercredi 9 janvier 2013

En attendant Godot.

Une belle surprise m'attendait aujourd'hui. Joseph ayant envoyé balader Montblanc, dont l'escalade d'inélégance a atteint un sommet, il ne s'est pas avoué vaincu pour autant car il voulait que je reparte en France avec mon cadeau de Noël.

Il s'est occupé, en cachette, de trouver un remplaçant à Godot (oui, Montblanc devrait rebaptiser les Meisterstück les "Godot": ceux qu'on attend et qui n'arrivent jamais).

Vers midi, ça sonne à la porte. Livraison d'un colis pour Joseph.

Il ouvre la boîte, et me tend un paquet.

L'expéditeur:



WAOU! L'enveloppe et le papier qui accompagnent le paquet sont d"une qualité remarquable. Grain épais, lettres dorées, écriture imprimée italique. Blanc, or et noir. C'est beau comme un bijou.


Le bijou, le voici.

Il s'appelle Diabolo et il est splendide. J'aimerais vous en faire une description plus détaillée (matériau, tenue en main, sensation, qualité de la plume...), mais vous me prendriez pour une allumée et je risque une invitation un mercredi soir avec des passionnés de trajectoire de boomerang et des constructeurs de Tour Eiffel en allumettes.

Mais Diabolo, c'est mon nouveau copain et il ressemble à ça:





(Je ne suis pas peu fière de la dernière photo, je la trouve réussie!)

Joseph a fait le choix du joaillier français et ne le regrette pas. Rapidité de service (colis arrivé en deux jours), soin extrême de la commande, avec une multitude de petits plus qui changent tout.

Le luxe et l'élégance à la française. Je dis: Cartier, c'est chic.

Et surtout: MERCI Joseph. C'est un beau cadeau que tu me fais, là.

2 commentaires:

  1. Alors là, je suis d'accord : c'est bcp mieux qu'un Montblanc. Celui-là est bien plus crémeux et onctueux !

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  2. ;-) Je voulais ajouter dans mon précédent post: désormais, MontBlanc, ce sera la crème et point barre!

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