Fireworks.

Ce soir nous étions à Point Pleasant Beach. Point Pleasant... rien que le nom me faisait rêver l'an dernier avant mon premier voyage ici. C'est la  localité voisine de Manasquan. L'équivalent de Metz/Montigny-lès-Metz en distance... enfin... le sable fin, les palmiers et l'océan en plus. Le boardwalk est animé pendant toute la saison estivale, qui dure bien plus longtemps que chez nous, été indien oblige. La dernière promenade de Joseph l'an dernier sur le boardwalk animé était début octobre.

Et comme tous les jeudis, Point Pleasant Beach tire son feu d'artifice. Ça grouille de partout, les gens s'amassent sur la plage ou le long des rambardes du boardwalk, et attendent le lancement du feu. Je l'avais déjà dit il me semble dans un de mes posts, mais ce qui surprend, au vu de la population amassée, c'est le calme. Ici, on ne crie pas. Certes, on entend le brouhaha de l'animation et des gens qui discutent, mais c'est sans commune mesure avec la France. [Cette remarque avait déjà été faite par mon ancien beau-frère, un Britannique: "Pourquoi vous criez pendant les réunions de famille en France, vous vous engueulez ou quoi?" - "Hein? Non non, on discute." Fort, apparemment.]

Une belle lune rousse nous a accueillis sur la plage.
 

Le 2 août, à 21 heures, il faisait 27 degrés.

Le boardwalk vu de la plage: une succession de buvettes, ice-cream shops et autres petites baraques de plage qui vendent tout un tas de cochonneries, sucreries, beignets bien gras (funnel cakes, l'équivalent de nos churros mais en plus gros. Forcément), boissons glacées (une boisson sans glace, ici, ça n'existe pas. Il y a toujours de la stupéfaction dans le regard quand Frenchy demande "No ice, please") et aussi attractions de fête foraine.

God Bless America partout, même sur la plage.

Sous les palmiers, le feu d'artifice.