Après avoir scruté pas mal de sites internets sur la ville, nous décidons de nous diriger vers le Vieux-Port. Point positif: nous n'avons ni carte routière ni guide touristique, mais il est très facile de circuler dans Montréal. La signalisation est très claire, tant pour le numéro des routes, que pour les grandes directions, que pour les points d'intérêt touristique. Parking aisé, mais payant. 18 dollars canadiens pour quelques heures. C'est pas donné.
Première déception: le Vieux-Port n'est pas un port de plaisance mais bien le vieux port industriel de Montréal. Les berges ont été réhabilitées pour le tourisme, c'est devenu un lieu de promenade mais ce n'est pas typique comme ce que nous entendons au sens de "vieux port" en France, type port de plaisance avec ses petits restos et ses petits bateaux. Y sont également installés des complexes (musée des Sciences, boutiques, départ de croisière sur le Saint-Laurent), ce qui me rappelle le vieux port (Port Vell) de Barcelone avec ses complexes commerciaux et touristiques.
Un lieu de promenade intéressant, néanmoins, à deux pas du Vieux-Montréal. Quartier agréable, avec ses artistes de rue, rues à l'ancienne (donc difficilement praticables en fauteuil).
Nous avons visité le château Ramezay, ancienne demeure qui sert de musée historique de la ville, et acheté une toile à un peintre, Marek Olechowski.
http://www.olechowski.ca/
Puis nous avons voulu aller voir l'expo Star Wars à la Cité des Sciences: complet pour la journée. :-(
Déçus, nous sommes allés manger ce que tout le monde nous a conseillé: la poutine. Là, désolée, mais même moi qui suis excellent public côté bouffe, j'ai trouvé ça... infâme. Je pèse mes mots. (Peser est bien le bon verbe: voir photo ci-dessous). Des frites grasses (forcément) avec du fromage fondu nappé d'une sauce au goût de bouillon de jus de rôti salé, déjà ce n'est pas appétissant à regarder, mais en plus, au bout de quelques fourchetées, il faut déclarer forfait.
On se faisait une joie de goûter, pour le folklore, et parce qu'apparemment" il FAUT absolument" y goûter et trouver ça bon, mais là, trop, c'était trop. Heureusement qu'on en avait pris qu'une pour deux. Sentiment de dégoût partagé pour Joseph qui a été écoeuré encore plus vite que moi. On aura essayé...
Pour continuer sur nos déceptions: un stationnement en centre-ville qui nous autorise à rester 20 minutes alors que nous avons payé pour une heure, tout ça pour aller acheter une carte routière, des bouchons fatigants pour se rendre au Parc Olympique pour visiter la Tour inclinée, finalement non visitée après avoir trouvé porte close aux deux parkings du site (le troisième, de délestage, était ouvert mais au tarif unique de 10 dollars). La tour paraissant moins impressionnante que sur les photos, nous avons fait demi-tour. Pour se retrouver dans les bouchons sur le chemin de l'hôtel: 50 minutes pour rentrer au lieu de 15 avec une envie pressante.
[Ha! Ça vous fait moins rêver, hein!]
Une fois à l'hôtel, enfin au calme, nous sommes allés profiter de la "piscine" de l'hôtel. J'ai inauguré mon maillot de bains, fait trempette, puis nous avons sans doute passé le meilleur moment de la journée: le restaurant de l'hôtel. Un moment de détente, mais surtout fort agréable car à ma grande surprise, tout comme la veille, les plats autant que le service sont d'une qualité et d'une finesse irréprochables. Même le vin au verre était aromatique. (Ce fameux "vin au verre" qui laisse tant à désirer en France qu'on se demande si ce n'est pas Maille qui le produit. Enfin, j'me comprends comme dirait l'autre).
Pour terminer encore sur du positif: l'accueil des Québecois n'est pas une légende. C'est toujours avec sourire, courtoisie et dévouement que les gens s'adressent à nous ou répondent à nos questions. Et bien sûr avec cet accent typique!
Quelques vues du vieux Montréal, plutôt sympathique:
Nous quittons Montréal ("Manréaoll") demain pour Québec, qui j'espère nous laissera un souvenir plus enchanteur.
Nous avons visité le château Ramezay, ancienne demeure qui sert de musée historique de la ville, et acheté une toile à un peintre, Marek Olechowski.
http://www.olechowski.ca/
Puis nous avons voulu aller voir l'expo Star Wars à la Cité des Sciences: complet pour la journée. :-(
Déçus, nous sommes allés manger ce que tout le monde nous a conseillé: la poutine. Là, désolée, mais même moi qui suis excellent public côté bouffe, j'ai trouvé ça... infâme. Je pèse mes mots. (Peser est bien le bon verbe: voir photo ci-dessous). Des frites grasses (forcément) avec du fromage fondu nappé d'une sauce au goût de bouillon de jus de rôti salé, déjà ce n'est pas appétissant à regarder, mais en plus, au bout de quelques fourchetées, il faut déclarer forfait.
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| La poutine, c'est ça. |
On se faisait une joie de goûter, pour le folklore, et parce qu'apparemment" il FAUT absolument" y goûter et trouver ça bon, mais là, trop, c'était trop. Heureusement qu'on en avait pris qu'une pour deux. Sentiment de dégoût partagé pour Joseph qui a été écoeuré encore plus vite que moi. On aura essayé...
Pour continuer sur nos déceptions: un stationnement en centre-ville qui nous autorise à rester 20 minutes alors que nous avons payé pour une heure, tout ça pour aller acheter une carte routière, des bouchons fatigants pour se rendre au Parc Olympique pour visiter la Tour inclinée, finalement non visitée après avoir trouvé porte close aux deux parkings du site (le troisième, de délestage, était ouvert mais au tarif unique de 10 dollars). La tour paraissant moins impressionnante que sur les photos, nous avons fait demi-tour. Pour se retrouver dans les bouchons sur le chemin de l'hôtel: 50 minutes pour rentrer au lieu de 15 avec une envie pressante.
[Ha! Ça vous fait moins rêver, hein!]
Une fois à l'hôtel, enfin au calme, nous sommes allés profiter de la "piscine" de l'hôtel. J'ai inauguré mon maillot de bains, fait trempette, puis nous avons sans doute passé le meilleur moment de la journée: le restaurant de l'hôtel. Un moment de détente, mais surtout fort agréable car à ma grande surprise, tout comme la veille, les plats autant que le service sont d'une qualité et d'une finesse irréprochables. Même le vin au verre était aromatique. (Ce fameux "vin au verre" qui laisse tant à désirer en France qu'on se demande si ce n'est pas Maille qui le produit. Enfin, j'me comprends comme dirait l'autre).
Pour terminer encore sur du positif: l'accueil des Québecois n'est pas une légende. C'est toujours avec sourire, courtoisie et dévouement que les gens s'adressent à nous ou répondent à nos questions. Et bien sûr avec cet accent typique!
Quelques vues du vieux Montréal, plutôt sympathique:
Meme pas une photo de caserne de pompier.... :'(( lol ;)
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